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Accueil > FAQ > Sobriété numérique dans le service public : par où commencer ?
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La crise sanitaire a fortement contribué à multiplier les usages numériques, garants de la continuité de services et vecteurs d’agilité. Parallèlement, la transition écologique pousse le service public à se pencher sur l’impact environnemental de ce virage digital. Le concept de « sobriété numérique » occupe aujourd’hui le devant de la scène.

L’expression « sobriété numérique » désigne « la démarche qui consiste à concevoir des services numériques plus sobres et à modérer ses usages numériques quotidiens (1) ». Aujourd'hui, cette démarche de sobriété numérique dans le service public tend à prendre de l'ampleur. En effet, le recours aux technologies en ligne réduit de manière tangible les consommations énergétiques en comparaison des usages physiques (voyages d’affaires, impressions papier…) mais n’élimine pas complètement l’impact environnemental. 3 clés sont à retenir en vue de favoriser la sobriété numérique dans le service public :
  • Faire la promotion de  projets numériques écoconçus
  • Privilégier le recours aux low-tech
  • Encourager les démarches visant à diminuer l’empreinte écologique du numérique
A l’échelle d’un organisme public, 5 principes fondamentaux peuvent être adoptés :
  • Evaluer l’empreinte écologique de son système d’information
  • Adopter une approche globale lors de l’acquisition de biens numériques
  • Optimiser les infrastructures
  • Optimiser l’amortissement des infrastructures informatiques
  • Impulser de nouveaux usages auprès des agents
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